"L'image est forte et il est difficile d'oublier en sortant que vivre est une façon de danser "
"Un impressionnant et ingénieux dispositif scénique constitué d'une centaine de longs couteaux qui offre au public de beaux moments de danse à l'esthétique saisissante"
"Une pièce qui brasse la joie et l'anxiété dans la puissance du geste "
"Donne moi... est bien l'éloge ou le manifeste du mouvement, celui qui avance et draine l'énergie et la force, envahit corps et pensée dans le respect de l'autre: autant le spectateur "actif" que l'interprète se révélant ainsi à lui même et à ses propres convictions "
Une pièce lumineuse où l’espace scénique vacille sous la multiplicité d’éclats lumineux, soulevant le contraire d’une affirmation identitaire : le vide, la suspension. Une centaine de longues lames miroitantes, évoquant la menace qui pèse sur nos têtes, pointent les corps des interprètes et s’échappent tout au long de l’œuvre, libérant ainsi l’espace dans un scintillement kaléidoscopique. Donne-moi quelque chose qui ne meurt pas, titre intrigant, quête d’impossible, suspend les gestes des cinq danseurs à l’unisson, entre marches militaires, rave parties couchées et farandole populaire détournées, le groupe cherche à s’extraire de la gravité, à ouvrir un espace où la danse peut retrouver son mouvement cristallin, ses gestes incarnés, sa vocation d’émancipation et sa jubilation. La musique live convoque un univers oscille entre mémoire populaire et avant-garde artistique, jusqu’à donner à cette danse de lutte et de résistance face à ce qui nous entoure, toute sa puissance jubilatoire.
"L'image est forte et il est difficile d'oublier en sortant que vivre est une façon de danser "
"Un impressionnant et ingénieux dispositif scénique constitué d'une centaine de longs couteaux qui offre au public de beaux moments de danse à l'esthétique saisissante"
"Une pièce qui brasse la joie et l'anxiété dans la puissance du geste "
"Donne moi... est bien l'éloge ou le manifeste du mouvement, celui qui avance et draine l'énergie et la force, envahit corps et pensée dans le respect de l'autre: autant le spectateur "actif" que l'interprète se révélant ainsi à lui même et à ses propres convictions "
Production: SINE QUA NON ART
Coproductions : Le Manège, Scène Nationale de Reims – La Coursive, Scène Nationale de La Rochelle, CCN Ballet de Lorraine – Nancy, VIADANSE – CCN de Franche Comté – Belfort, Le Ballet de l’Opéra National du Rhin – CCN de Mulhouse, Le Pacifique CDC – Grenoble, Pôle Sud CDC – Strasbourg.
Avec le soutien financier de: DRAC Nouvelle Aquitaine (aide au projet), Le Gymnase CDC Roubaix – Hauts de France, Beaulieu – Poitiers, Adami , Spedidam
La compagnie SINE QUA NON ART est conventionnée par la Région Nouvelle Aquitaine, et reçoit le soutien de la Ville de La Rochelle
Concept – Chorégraphie – Scénographie : Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours
Interprétation : Christophe Béranger, Jorge Moré Calderon, Virginie Garcia, Jonathan Pranlas-Descours, Francesca Ziviani
Musique originale et live : Yohan Landry et Damien Skoracki
Création Lumière : Olivier Bauer
Réalisation décors :Gregory Fradin
Costumes : Pauline Kieffer
Régie plateau, son :Laurent Savatier
Regard dramaturgique : Denis Forgeron